A Statistiques (PDF) de la Office fédéral de la justice (BjV) révèle que les enquêteurs fédéraux et des États utiliseront les ordinateurs et les smartphones des suspects dans plusieurs centaines d'affaires en 2019 hacké ont. Dans l'ensemble, selon la toute première publication du Données 600 procédures pour la surveillance des télécommunications à la source (source TKÜ) et les recherches en ligne. Parmi ceux-ci, 380 ont été effectivement mis en œuvre. Les statistiques ne montrent pas combien d'appareils ont été piratés avec succès.
Le Mecklembourg-Poméranie occidentale (95), la Basse-Saxe (89) et la Saxe (76) ont eu le plus de procédures. Le ministère public fédéral et six États fédéraux n'ont pas du tout utilisé les méthodes d'enquête encore relativement nouvelles en 2019. L'utilisation la plus fréquente de la source tKÜ se fait dans le cadre d'enquêtes sur des infractions liées à la drogue.
Source TKÜ contre la communication cryptée
Selon § 100a du code de procédure pénale (StPO), la Source-TKÜ est principalement utilisé pour intercepter les communications cryptées. Les communications non cryptées, en revanche, peuvent être évaluées par les autorités d'enquête par le biais d'ordres de surveillance conventionnels. En 2019, cela a été autorisé dans 5 252 procédures pénales dans 18 225 cas.
Les recherches en ligne sont rarement utilisées
En revanche, la recherche dite en ligne est beaucoup moins utilisée, ce qui s'explique par le fait que le seuil d'intervention selon § 100b de la StPO est nettement plus élevé. Contrairement à la vidéosurveillance à la source, cette méthode d'enquête permet non seulement de surveiller les communications des suspects, mais aussi de lire les données stockées.
Selon le Statistiques (PDF) du BfJ, les recherches en ligne n'ont été demandées que 20 fois en 2019 et mises en œuvre 12 fois. La moitié des demandes provenaient de Bavière. Le ministère public fédéral ainsi que les Länder de Bade-Wurtemberg, Berlin, Rhénanie-Palatinat, Saxe-Anhalt, Schleswig-Holstein et Thuringe n'ont pas eu recours aux recherches en ligne ni aux écoutes de sources.
Pas de détails sur la mise en œuvre technique
Les statistiques ne révèlent pas comment les écoutes à la source et les recherches en ligne ont été techniquement mises en œuvre. Cependant, le gouvernement fédéral a récemment répondu à une question écrite du député Dieter Dehm (Parti de gauche) selon laquelle les problèmes techniques rendent souvent le piratage des terminaux plus difficile.